Le Christ s’est arrêté à Eboli
Carlo Levi

Le narrateur :
Il s’appelle Carlo Levi. Début du récit : année 1935. Quitte Grassano de force pour Gagliano. S’installe chez une veuve, belle-sœur du secrétaire du village, pour une vingtaine de jours. Est un ancien médecin mais n’exerce plus, il est aussi peintre. Il est interné politiquement car serait anti-fasciste. Il y a plus ou moins dix autres internés politiques dans le village mais il ne peut pas les voir, c’est défendu. Pense qu’il sera bien dans ce nouvel endroit malgré tout. Il doit se méfier des femmes qui sont dangereuses car elles préparent des philtres. Mais il en boira sans que cela ne lui fasse d’effet. Les paysans sont têtus et méfiants. Il doit passer trois ans à Gagliano. Est aussi un officier de réserve. Il y a un couvre-feu pour lui. Va souvent dans les environs du cimetière, qui est le premier sujet de ses tableaux. A été enfermé plusieurs mois dans une cellule. Il a une sœur qui est aussi médecin et qui lui rend visite à Gagliano. Guilia est sa servante et devient un compagnon habituel de sa vie. Barone lui a été offert par les paysans de Grassano. Se rend chaque matin à la mairie pour signer le registre. Peint des natures morts, des paysages et des enfants. Apprend grâce à Guilia à faire des philtres. Est autorisé à retourner à Grassano pour finir ses tableaux. Il n’exerçait pas la médecine à Grassano. Rentre après une semaine à Gagliano et ne reviendra plus jamais à Grassano. S’il n’avait pas la compagnie des seigneurs, il avait celle des enfants. Ils viennent frapper à sa porte à toute heure du jour et sont ses amis. Il fait beaucoup de descriptions physiques. Tous les enfants qui l’accompagnent avaient quelque chose de singulier : ils tenaient de l’animal et de l’homme adulte. N’a plus le droit d’exercer ce qui amène la colère au village. Se cache pour exercer la médecine. Sorcellerie très populaire et devient un maître en la matière. Pour rentrer quelques jours dans sa ville suite au décès