Le colonel chabert
Le discours est descriptif car les verbes sont principalement à l'imparfait: L2 attendait ; L3 était ; L4 avait ; L5 aurait ; L6 présentait ainsi que la présences de repère spatiaux : L4 le cabinet de Curtius mais aussi les verbes d'état ou de perception: L6 présentait ; L9 paraissaient ; L13 semblait ; L14 décrivait ; L17 projetaient etc,,,
le narrateur est interne a l'histoire car il décrit le colonel Chabert a travers les yeux de l'avoué , il voit donc des chose que seul l'avoué peut voir et savoir.
le point de vu du narrateur entre les ligne 1a9 est externe car il ni a pas de pronom personnel le concernant: L1 le jeune avoué ; L2 le colonel Chabert ; L7 le vieux soldat etc,,,,
la figure de style relevé a la ligne 27 est une comparaison car c'est une mise en relation de deux termes a l'aide d'un terme comparant.
Elle signifie que le visage de cet homme est dégrade par des sentiment ( douleur, misère) comme le marbre se dégrade a la long avec l'eau.
Cette figure de style mais en avant la douleur et la misère de cet homme en passent par les trait et la dégradation de son visage.
La figue de style est une oxymore, dans le texte elle est justifié par la fantaisie que les peintres s'amusent à dessiner.
Elle fait coexister deux terme « sublime » et « horreur » qui sont de sens contraire afin d'insister sur l'effet produit.
Balzac utilise la technique du clair-obscur en faisant apparaître dans un texte tragique un brin d'espoir ou bien le lexique du mot clair comme dans se texte extrait du chapitre 1 du colonel Chabert : L11 la lueur ; L11 bougies ; l'effet produit est l'insistance sur le physique qui est décrit à travers un contraste.
Honoré de Balzac est né à Tours le 20 mai 1799 et mort à