Le comique n'a-t-il qu'une visée divertissante ?
I) Le comique divertissant :
a) définition du comique avec énumération des différents types de comiques
[Le comique est l'ensemble des traits humoristiques relevant de la comédie. Comique est souvent employé en synonyme de comédie. Comique sert d'adjectif à la comédie. Le comique est aussi l'acteur ou l'auteur humoriste.
Au XVIIe siècle, le terme « comique » ne désigne pas prioritairement une œuvre amusante mais une œuvre traitant de sujets bas et mettant en scène des personnages n'étant ni des dieux, ni des nobles, ni des personnages fantastiques mais appartenant à la bourgeoisie ou au peuple[1]. On parle alors d'histoire comique.]
b) Définition du sens pascalien du terme divertissement (pour se détourner de la mort), puis définition du sens plus large (sens actuel).
[Un divertissement est une activité qui permet aux hommes d'occuper leur temps libre en s'amusant et de se détourner ainsi de leurs préoccupations. Les divertissements forment l'essentiel de la famille plus large des loisirs : une conversation, amicale et plutôt inattendue, entre anciens collaborateurs sera un loisir notable dans l'entreprise sans être un divertissement.]
c) le comique au théâtre, la comédie et le comique de tous les jours. L'industrie de l'humour. (exemples de comiques célèbres actuels comme Gad Elmaleh ou Florence Forestie).
II) Le comique satirique :
a) Capter un auditoire par le comique pour dénoncer.
b) Ridiculiser grâce à des caricatures. (Avec références à des dessinateurs comiques de caricatures comme Plantu).
c) Se donner du relief grêce au comique dans un débat.
III) Le comique pour philosopher :
a) Les grands penseurs de l'humour.
Référence à Desproges (entre autres)
b) le comique qui dédramatise un sujet grave.
c)