Le commentaire de l'acte ii, scène 5 de l’oeuvre la guerre de troie n’aura pas lieu.
Le commentaire de l'acte ii, scène 5 de l’oeuvre la guerre de troie n’aura pas lieu
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Le commentaire de l'acte ii, scène 5 de l’oeuvre la guerre de troie n’aura pas lieu.
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Le commentaire de l'acte ii, scène 5 de l’oeuvre la guerre de troie n’aura pas lieu.● Le discours aux morts est une parodie du ton solennel avec le « Ô vous », et les phrases courtes, sans périodes, le rythme heurté, saccadé insistent sur sa sincérité et, par opposition sur l'hypocrisie des discours traditionnels. C'est un sentiment de honte et non de fierté qui habite Hector. De plus, ce qui ne se fait absolument pas, il différencie parmi les morts les bons et les mauvais. Enfin, il fait de l'ironie sur la cocarde. Les paradoxes portent sur quatre sens et peuvent être perçus comme une provocation aux morts : « Vous qui n'entendez pas, écoutez (...) qui ne voyez pas, voyez (...) qui ne sentez pas, respirez (...) qui ne touchez pas, touchez ». Il présente les vivants comme des déserteurs ; parmi les vainqueurs, il oppose les vivants et les morts, et parmi les morts, les bons et les mauvais.
En fait, il fait un réquisitoire contre la guerre : vocabulaire dépréciatif avec des superlatifs comme « la plus sordide, la plus hypocrite », des
négations. Pour lui, la mort comme la guerre est absurde, ce n'est ni un châtiment ni une récompense. Il accumule des épithètes négatives : « absents », inexistants », « oubliés », et utilise le rythme ternaire en répétant trois fois la préposition « sans ».
Son discours est un hymne à la vie, comme