Depuis l’époque de la révolution industrielle, notre société occidentale est en proie à une globalisation soutenue des marchés internationaux. Ce phénomène peut aussi être appelé la mondialisation. Le sujet de la mondialisation étant très vaste, il peut être divisé en plusieurs sous thèmes. Lors de la conférence à laquelle j’ai eu la chance d’assister le 15 septembre dernier à l’université Laval, les conférenciers se sont penchés sur l’internationalisation des marchés économiques et la place de l’entreprise dans les marchés mondiaux, et ce, plus précisément sur les relations entre le Canada et le Brésil.

En premier lieu les auditeurs de cette conférence ont eu droit à une description globale du portrait économique du Brésil. Le professeur Brésilien Jovelino De Gomes Pires, auteur de quatre livres d’administration et de commerce extérieur, nous a expliqué qu’en tant que huitième économie mondiale son pays occupe une place de choix au niveau économique mondial. Vingt-quatrième importateur mondial, le Brésil compte à lui seul pour 50% de l’économie de l’Amérique du Sud. Son économie est basée sur les divers échanges commerciaux qui ont lieu dans ses ports et ceux-ci sont en grandes majorités issues du commerce de produits.

Monsieur de Gomes Pires en a alors profité pour nous informer des impacts qu’a eu la crise économique sur son pays. Les effets de ceux-ci ont été minimes, nous avons pu observer une baisse négligeable du produit intérieur brut, mais rien de plus. Ceci s’explique par le fait que l’économie brésilienne est basé non pas sur le secteur tertiaire, mais plutôt sur le secteur secondaire. En effet, la structure économique de ce pays n’est non pas basé sur les capitaux, mais plutôt sur la création et la commercialisation des produits. Dans le cas de crise économique précédente, le Brésil a eu de la chance. Toutefois une économie centraliste n’est jamais solidement recommandée.

Bien que le Brésil soit un pays relativement éloigné de nous à