Depuis les années 1990 et le colapse économique de 2001 et 2002 la situation s'est modifié par rapport aux années antérieures où la grande intégration social se caractérisait par l'homogénité, un taux de chômage bas, une distribution de richesse équitative et l'accessibilité à des bons services pour la majorité. Cette situation s'associait avec des oportunités d'assention sociale (lié avec le travail) et des nivaux de consommation élevés pour la majorité de la population. Après les années 2001 et 2002 la situation a changé en mettant au même niveau les indicateurs sociales à ceux du reste d'Amérique Latine. Si bien le grand accroîssement de 8,7% du PBI en 2003 permit de amelliorer les indicateurs de pauvreté, indigence, sous-occupation et inégalité, le contexte social actuelle de l'Argentine est très grave. Le problème du chômage est probablement un des thèmes plus urgents à resoudre en Argentine par les effets négatifs de type social et culturel. Le taux globale de chômage a montré une tendance marqué à monter dans les derniers 20 années. Dans les années 80 le chômage présentait une tendance croissante et atteignait un pic de 8.1% en mai de 1989. Les années 90 se caractérisent par des hautes valeures et un indice maximal de 18.4%. Dans l'actualité le marché du travail montre une petite amélioration envers l'année 2002, par conséquence de la création de postes de travail déclarés et aussi par l'intervention de l'État. Néanmoins il existe encore un haut taux de chômage dans les zones métropolitaines du pays arrivant à un 14,8%. Pourtant, les indicateurs de pauvresse montrent une petite amélioration après le pic atteigné en pleine crise, quand la population povre était le 53% de la totalité. Principalement à partir de la fin 2003 et principe 2004, comme conséquence du accroîssement de l'emploi et de la recompisition salariale, les indices de pauvresse et indigence ont diminué légèrement. Néanmoins ces indicateurs continuent hauts, aujoud'hui le taux de pauvresse est