Le corps moralisé, d’Isabelle QUEVAL La philosophe Isabelle QUEVAL, montre sa vision sur le corps et ses attributs ainsi que sur le poids de la société et de ses avancées, sur le ce dernier. En répondant aux différentes questions de Florence MOTTOT, la philosophe aborde les multiples facettes du corps et ce qu’il cache. Tout d’abord, elle de l’historique du corps et de sa fonction et symbolique des années 1960-1970 à maintenant. Elle montre l’évolution du rôle du corps dans la société et comment le vivent les contemporains. Puis, dans une seconde réponse, elle montre sous des airs presque de dénonciation, les règles instaurées par la société, sur le comportement et les résultats à avoir avec son corps, comme l’interdiction de fumer ou faire du sport. Puis dans une troisième réponse elle montre la quête de la jeunesse, actuelle. Dans la quatrième réponse, Isabelle QUEVAL, parle des normes physiques contemporaines, imposant une alimentation précise et un règlement de nutrition à grande échelle. Ainsi, la philosophe, donne un point de vue explicite, sur le corps. Nous pouvons donc analyser ce texte en trois parties, tout d’abord, l’évolution du corps dans la société, puis les normes sociales imposées aux corps de nos jours, et enfin les résultats de ces normes sur le corps. I- L’évolution du corps dans la société.
Dans cette partie, nous pouvons voir qu’Isabelle QUEVAL, explique que le corps est un objet transformable, guidé par les modes, et la consommation. Plus qu’une seule enveloppe charnelle, le corps est un produit de consommation, qui s’adapte selon l’appartenance à des groupes sociaux, à des modes ou encore à des croyances. De plus le corps contemporain, s’accroche à une autre idée, qui est l’attitude. L’attitude est un mode de vie jouant sur un phénomène de sanction et de récompense selon que l’individu suit ou pas l’attitude dictée par la société, comme par exemple le tabagisme, la bonne nutrition ou encore la pratique d’une activité sportive.