Tristan Corbière, fin XIXeme, malgré la publication « Des Amours Jaunes », resta un « illustre inconnu » pour ses contemporains contrairement à son père reconnu à échelle régionales grâce a ses romans maritimes.
Complexe d’infériorité
Corbière se sous-estime, il n'a pas l'élégance de son père et est plutôt laid, rachitique et tuberculeux.
On ne peux pas le classer dans tel ou tel courent littéraire. Poème symbolique (plutôt sobre, traite du quotidien).
Se distingue pas ses audaces d'écriture : forme de modernité
Il est poète tout en se moquant du poète.
Publié a compte d'auteur.
Succès du poème en 1880, 10ans après sa mort lorsque Paul Verlaine fit paraître un recueil dans lequel il proposait un florilège de poèmes où il intègre Corbiere en donnant un point de vue positif sur quelques poèmes de son prédécesseur : « Poèmes maudits »
Pour Corbière la poésie n'a qu'un but : livrer qualque chose du sentiment de l'artiste, de de ses problèmes personnels, de ses réactions...
Amours jaunes = Rires jaunes : moqueur de soit-même lorsqu'on subit une humiliation
Composition subtile
Sonnet détourné, inversé = intention de mêler la forme et le fond, Corbière est autant que son poème l'est par sa forme.
Provocation, beauté du poème différent de la laideur du crapaud
Le cadre
Des le début T. Corbière crée une atmosphère similaire aux clichés romantiques (univers nocturne, la Lune et sa pâle lumière.
Aucune présence, le carpeau n'arrive réellement qu'à la troisième strophe = solitude
Dialogue entre deux personnages.
« soldat fidèle » = métaphore romantique qui consiste à faire de l’amant un preux chevalier destiné a la protection de sa dame.
Lyrisme = livre son intime personnels Reste incompris des Hommes
Opposition au Romantisme
Choix du crapaud = anti-romantisme
Laideur déclenche l' »horreur »
Parodie du romantisme ( reprise et détournement du modèle romantique)
Lune qualifiée par des termes secs, bruts, et froids.
Progressivement tout se dégrade .