Le crime de l'orient express
On remarque que chacun des chapitres est explicitement descriptif de son contenu ce qui nous renseigne sur les événements qui vont se produire avant même que nous les ayons lus.
La situation initiale correspond au regroupement de 17 personnes de provenance socioculturelle très différentes dans le même train. Ces personnes devraient être en principe étrangères les unes aux autres pour la plupart. Un vieux monsieur qui inspire la révulsion, son valet et son secrétaire sont présents. Une princesse repoussante de laideur mais captivante, un comte et sa femme, deux anglais dont les rapports sont ambigus (Hercule Poirot les a surpris en train de discuter intimement alors qu’ils feignent de ne pas se connaître), un américain, une américaine, une suédoise, une allemande, une hongroise, un docteur grec, un des présidents de la société des wagons-lits, un italien, une allemande et Hercule Poirot ; fameux détective. Le meurtre du vieil homme (Ratchett) durant la nuit à lieu, le train étant bloqué à cause de la neige le criminel est forcément un des voyageurs du train. Hercule Poirot et son ami, M.Bouc, entreprennent d’enquêter sur cette affaire.
L’élément qui va perturber cette disposition est la trouvaille d’un bout de papier correspondant à des menaces destinées à Ratchett, ces menaces révèlent la vraie identité de ce mort ; Cassetti. Cassetti n’est autre que le meurtrier de la petite Daisy Armstrong qu’il avait enlevé puis tué. La mère de Daisy affligée de chagrin attendait un autre enfant qui mourut d’une fausse couche ; elle se suicida suivit de son mari puis de la bonne accusée de complicité (ce qui était faux). Ce bout de papier va changer, pour notre détective, le cour de l’enquête, l’objectif est de déterminer qui dans ce wagon a un lien quelconque avec la famille Armstrong où l’affaire.
Il se trouve que la princesse a été très proche de cette famille. On découvre également un indice que le meurtrier était censé porté (un peignoir