Le declassement des jeunes
Champ général
Constat statistique
Présentation de la question du thème choisi
I. PROBLEMATIQUE
Ancrage théorique
Présentation des différents articles retenus (faire différence entre différentes manière d’aborder la question) : étudier les articles ensemble car mêmes auteurs
Hypothèses proposées
II. METHODOLOGIE
Outils utilisés
Limites des articles (comparées ou distinctes)
III. RESULTATS
Retour sur les hypothèses
Principaux résultats
CONCLUSION
Convergence / Divergence des articles étudiés
Ouverture
Bibliographie
Aujourd’hui la question du déclassement agite l’univers éducatif français. Pour atténuer les inégalités sociales, le système éducatif à pousser les jeunes à faire des études de plus en plus longues, seulement la demande de travail sur le marché n’a pas avancé à la même allure. Effectivement, on se trouve désormais devant un dilemme : faire des études représente un investissement important pour les jeunes, en choisissant un parcours scolaire plus long, ils renoncent en quelque sorte à travailler et obtenir un revenu. Par contre, cet investissement initial dans les études doit rapporter un revenu plus élevé compte tenu des connaissances et des compétences acquises au travers de l’éducation.
Seulement, ce phénomène de sur-éducation a engendré une concurrence au sein de la demande de travail des plus diplômés, qui se trouvent obligés d’accepter des emplois moins qualifiés, moins rémunérés et même souvent tout a fait incompatibles avec leur formation et leur niveau d’études. C’est ce qu’on appelle le phénomène de déclassement. Pierre Bourdieu soulignait déjà qu’un individu est déclassé quand il est contraint de renoncer au classement social qu’il pensait obtenir grâce à son diplôme.
Des études statistiques ont été menées sur ce phénomène, notamment les enquêtes « emploi » de l’INSEE et les enquêtes du Cèreq dites « enquêtes génération » ciblées sur le parcours des sortants de formation et leur qualification