le dernier jour d'un condamné
Ce sont pourtant ces deux points qui feront l’objet de nombreuses critiques à la sortie du livre. Dès le 3 février 1829, Jules Janin critique l’œuvre dans la Quotidienne, la présentant comme une longue agonie de 300 pages et ne lui reconnaît aucune efficacité comme plaidoyer contre la peine de mort sous prétexte qu'« un drame ne prouve rien »3.
Désiré Nisard parle d’un livre inutile qui n’a pas fait avancer la cause qu’elle défend « la question (de la peine de mort) a-t-elle fait un pas de