Le discours de rousseau a l'academie de dijon, commentaire composee
894 mots
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Montaigne, ecrivain et philosophe du 16eme siècle partage sa reflexion sur l’homme dans son essai Les Cannibales (livre I Chap 31) ou il fait rappel au mythe du bon sauvage. Quelques siècles plus tard Jean Jacques Rousseau philosophe des lumieres fait un discours a l’Academie de Dijon en 1755 dans lequel il mentionne aussi le mythe du bon sauvage , cepandant sa reflexion est plus approfondi que celle de Montaigne car celui-ci renvoie a l’homme de la pre-histoire. Nous pouvons donc nous demander quelle strategie argumentative a ete utilisee par Rousseau dans son discours sur l’origine et les fondements de l’inegalite parmi les hommes. Dabord nous allons aborder la strategie argumentative utilisee par Rousseau pour ensuite enchainer avec une opposition entre nature et culture et pour terminer la description esthetique et valorisante du bon sauvage par opposition a un homme civilise qui souffre, le mythe du bon sauvage.Dabord le discours de Rousseau est particulier car il est sous forme de recit l’utilisation de la troisieme personne et du passé simple le rendent plus pertinent, “ les hommes “ “se contenterent” . La these de l’auteur est sous forme d’un paragraphe (L1-14), il utilise des phrases complexes pour valorise sa these. La relation logique qui se trouve tout au long du recit est celle de cause consequence, il utilise des personifications : “ campagne riante “ ce qui montre sa vision negative de l’homme civilise mais aussi des anaphores “ tant que…tant que “ et des accumulations pour valorise les indigenes et pour devaloriser les europeens (L6-11). L’auteur se base sur des faits reels pour soutenir sa these, il fait reference a l’homme de Neanderthal lorsqu’il fait rappel a l’agriculture, disant que c’est depuis que le malheur de l’homme a debutee et qu’il est devenue victime du progres technique. La conjonction de coordination “ et “ sert a denoncer la consequence, parceque l’homme est devenu civlise il a “ perdu le genre humain “. Dans le premier