Le dormeur du val - commentaire
-> première strophe + v6 et 7 + parler des couleurs et de la luminosité 2. La personnification en une mère protetrice
-> "chante" v1 + v11. L'accompagne jusqu'à la fin -> devient sa tombe ("trou" au début et à la fin) + appartient à ce val ("dans" répété 5 fois) II. La dénonciation de la brutalité de la guerre 1. Une évolution dans l'interprétation de l'état du soldat
-> au début semble dormir tranquillement puis "malade" "pâle" mais insistance sur "dort" (3 fois) puis on voit finalement qu'il est mort (nous amène à faire une deuxième lecture) 2. Une mort injuste
-> un soldat jeune (mort trop tôt), c'est encore un enfant + v12 a perdu les sens : à l'abandon + il ne peut voir la beauté de la nature qui l'entoure [Conclusion]
Ouverture : la dénonciation de la guerre par d'autres genre littéraires? (roman, théâtre, etc.)
"C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté