Le sport peut être une issue pour fuir aux soucis de la vie privée et professionnelle. Toutefois le sport peut se révéler dangereux pour ceux qui le pratiquent, puisque huit alpinistes expérimentés trouvent la mort. D'ailleurs Jon krakauer explique dans la « tragédie à l’Everest » la peur qui l’envahit pendant l'ascension de l'Everest mais aussi le plaisir qu'il a ressentit. Mais aussi Haruk Murakami explique les sensations ressenties dans « l’autoportrait de l'auteur en coureur de fond » les efforts qu'il a du produire pour faire la course de 100 kilomètres. Il en est de même pour Raphaël Enthoven dans « Philosophie de la corde à sauter, quand le sport mène au dépassement de soi » décrit la pratique de la corde à sauter et les tourments que le corps endure lorsqu'on pratique ce sport. Enfin une iconographie du film «Rocky Balboa» réalisé par John G. Avildsen, qui d'écrit Rocky lors de son entraînement matinal, le héros fait face à Philadelphie et à son destin. Le sport peut-il conduire l'homme à un dépassement de soi ? Dans un premier temps nous évoquer le sport pousse l'homme au dépassement de soi, puis dans un second temps les raisons qui pousse l'homme a pratiquer le sport.

Le sport permet au sportif de se dépasser moralement. R. Enthoven explique dans son œuvre «Philosophie de la corde à sauter quand le sport mène au dépassement de soi» comment il soumet son corps à l'effort physique. De plus il souligne les efforts que l'homme a fait pour dépasser sa souffrance. Alors que toutes ses attention sont tourné son corps qui travaille et que l'effort produit la transpiration. Cette concentration et sa persévérance lui permet d'oublier sa souffrance. Il ne pense à rien d'autre, il se vide l'esprit et laisse son corps travailler par lui même, tout comme H. Murakami, il libéré son esprit de toute ses pensées et passe en "mode automatique". Le sport provoque une métamorphose qui fait que le corps ne subit plus la souffrance et de se fait H. Murakami