Le Feu Barbusse
Une guerre est en conflit arme entre population qui s’oppose. La première guerre mondiale a eu lieu de 1914 à 1918. La première guerre mondiale fut un événement marquant qui s’inscrit dans l’histoire ce qui donna suite à de nombreux ouvrages sur ce sujet. Cette guerre est décrite de le roman de Barbusse « Le Feu ». Ce livre est un témoignage qui est raconté à travers plusieurs personnages imaginaires.
Lorsqu’Henri Barbusse écrit ce roman sur la première guerre, il avantage l’horreur anatomique plutôt que l’enfer morale des soldats pour séduire le public. Jean Norton Cru, avec sa citation, remet en question le journal d’une escouade appelée « Le Feu » écrit par Barbusse. En effet, Le Feu est-il un bon témoignage de l’enfer de la guerre. Nous allons analyser le point de vue de Jean Norton Cru en nous appuyant sur l’horreur anatomique qui est d’écrite dans le livre mais également en cherchant l’angoisse morale.
En premier lieu, d’après Cru, Henri Barbusse dans son livre le feu, n’aborde pas l’angoisse morale endurée par les soldats français, en effet selon lui, Barbusse met l’accent sur l’horreur anatomique de la guerre plutôt que l’horreur psychologique des soldats pour flatter le goût du lecteur. Mais contrairement à son avis, l’angoisse morale n’est pas manquante dans cet ouvrage. Par exemple, (Page 323), le narrateur écrit « On voit ce qu’il y a de songe et de peur, et d’adieu dans leur silence, leur immobilité, dans le masque de calme qui étreint surhumainement le visage. » de ce fait, la psychologie du soldat n’est pas retiré du livre de Barbusse, les passages sur la violence physique sont nombreux.il est vrai que Barbusse décrit énormément comment les poilus voit l’enfer de la guerre avec leur yeux mais beaucoup moins avec leur penser ou sentiment . Il peint un décor sombre, abominable et effrayant mais il met tout de même en avant certaine pensées de soldat comme lors d’une descente durant la quelle les soldats sont heureux d’être en vivant.