Le Jeu du Bouton, Richard Matheson
1. Dans le texte il y a 5 séquences narratives.
La première va de la ligne 1 à 111. Commençant au début du texte elle s’arrête quand on passe au « lendemain », ligne 112
La deuxième commence de la ligne 112 et s’arrête à la ligne 141. Elle finit par une ellipse : de « après le déjeune » (ligne 119) on passe au moment où Norma rendre du travail.
La troisième débute ligne 142 et prend fin ligne 196 par une ellipse temporelle qui prépare au troisième jour.
La quatrième séquence narrative va de la ligne 197 à 259 et termine elle aussi par une ellipse.
Quant à la dernière, la séquence va de la ligne 260 à la fin, soit la ligne 289.
2. Dans le texte, on peut repérer deux éléments qui contribuent aux effets du réel du récit et lui donne un cadre réaliste.
Tout d’abord, il y a le cadre spatial : un appartement au « 217 37e Rue, New York, N.Y. 10016 » (ligne 4). Cet appartement situé en plein cœur de Manhattan n’est pas une invention de l’auteur mais existe réellement.
Ensuite, il y a la vie et les taches quotidiennes des personnages. Norma, qui rendre probablement du travail car « la nuit tombait » (ligne 5), se met à cuisiner ; « après avoir mis les côtes d’agneau sur le grill. » (Ligne 6).
3. L’élément déclencheur est la venue de Mr Steward, qui leur a auparavant envoyé un paquet. Dans ce paquet se trouve une petite boîte doté d’un bouton. En leur donnant la clé permettant d’ôter le capuchon qui recouvre le bouton, Mr Steward explique au couple qu’il leur suffit d’appuyer sur le bouton, ce qui provoquera la mort de quelqu’un qu’ils ne connaissent pas, quelque part dans le monde. Ils recevront alors cinquante mille dollars.
4. Face à cette histoire, les deux époux ne vont pas avoir le même comportement.
Arthur pense d’abord à une mauvaise farce. Il désapprouve et ira même jusqu’à déchirer la carte en deux. Il montre de l’indifférence devant cette affaire et est prêt à l’oublier. Pour lui cette histoire est « le