Le lac de lamartine
Une peine d’amour incite le poète à dénoncer la puissance du temps.Avant toutes choses, on peu initiallement constater que le poète prend conscience de la fugacité du temps. Métaphoriquement, dans le monologue « Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des ages jeter l’ancre un seul jour?» le romantique manisfeste sa faiblesse face au temps. Aussi, Il démontre partiellement son envie de vouloir enpécher le temps d’avancer. Par ailleur, le champ lexical de la fugacité est présent à chaque fois que l’auteur fait référence au temps. Les mots «Temps m’échappe», « le temps […] fuit.» et « heure fugitive» illustre clairement l’éphémérité du présent.
En outre, l’auteur exprime la puissance du temps par son urgence de vivre. Si l’on retient cette idée, on peut remarquer que les temps verbaux utilisés, lors du dialogue entre le poète et sa bien-aimé «Aimons donc, aimons donc, de l’heure fugitive, hâtons-nous, jouissons!» sont conjugés à l’impératif présent, pour ainsi mettre en image l’urgence de vivre le présent et la peur du futur. De plus, cette serie de verbes d’actions et de sentiments, «Aimons», «hâtons-nous» et «jouissons» forme le champ lexical du profit