Le libéralisme
Le libéralisme s’identifie à la démocratie et s’oppose à l’absolutisme des monarchies. Il prône le respect et la liberté individuelle. Dans le même ordre d’idées on veut que l’État intervienne le moins possible et laisser plus de place à la libre entreprise privée. On veut que chaque individu ait la possibilité de développer son plein potentiel et donc de participer au bien collectif.
Le néo-libéralisme défend plutôt le retour de l’État minimal en opposition à l’État providence. Le néo-libéralisme défend des idées conservatrices, par exemple, en lien avec la religion, le militarisme, etc.
Le néo-libéralisme est une forme radicalisée de libéralisme qui refait surface dans les années 70. Il va s’appuyer sur plusieurs courants et théories aux idéologies monétaires. C’est Hayek qui tentera de donner de nouveaux fondements au libéralisme qui sera modifié et qui prendra par la suite plus d’importance.
Puisque les politiques néolibérales nous ont menés vers une impasse économique et ont mis en péril l’économie de certains pays, les rapprochant d’une crise comme celle de 1929. Il y a donc un retournement d’idéologies, on tente de réglementer davantage quelques domaines économiques pour éviter la spéculation et favoriser la nationalisation de certaines entreprises.
Des politiques qui favorisent une plus grande intervention de l’État dans l’économie et dans quelques domaines sociaux pour favoriser l’égalité et l’accessibilité aux biens et services. On se rapproche plutôt de la sociale démocratie, ou l’État providence est de mise, permettant une plus grande réglementation.
Par la privatisation la plus importante possible des systèmes de santé, d’éducation et de sécurité sociale, pour alléger les responsabilités de l’État. Il faut introduire ce principe (cette privatisation) graduellement.
Par exemple, en transférant un service du secteur public au secteur privé, mais en continuant le financement public. Il peut aussi y avoir une