Le lyrisme de ce poème d’apollinaire parvient t’il à exprimer sa vision personnelle de l’amour à travers les images de la fuite du temps qui passe ?
Cabioch
Gwendoline
Commentaire
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Wilhein Apollinaire de Kostrowitzky est un artiste littéraire mais aussi artistique, né en 1880 à Rome. Début du XX eme siècle (1907), il s’établit en France et il vivra avec Marie Laurencin jusqu’en 1912, puis il sera engagé pour la première guerre mondiale en 1917, enfin il sera blessé en 1916. En lisant son poème "Le Pont Mirabeau"Apollinaire, Alcools (1912.) On peut constaté qu’il est sur le thème du lyrisme ou de l’élégiaque. On voit notamment qu’il parle de sa rupture avec Marie, il évoque ainsi la fin d’un amour donc la fuite de l’amour. On peut enfin voir qu’Apollinaire fait référence à la fuite du temps dans son poème.
On peut donc se poser la question : Dans quelle mesure, le lyrisme de ce poème d’Apollinaire parvient t’il à exprimer sa vision personnelle de l’amour à travers les images de la fuite du temps qui passe ?
Ce poème, sous la forme du lyrisme et de l’élégiaque qu’il fait ressentir, peut être interprété comme une chanson. On voit qu’il y a quatre quatrains et refrains sous la forme de distiques : c'est-à-dire deux petits vers qui reviennent tout le temps. Ici : « Vienne la nuit sonne l'heure, Les jours s'en vont je demeure ». Ca sont des vers impairs en heptasyllabes (élément essentiel de la musicalité depuis Verlaine. le refrain donnent une impression de monotonie, de plainte. De plus on voit une certaine musicalité. (Manque début b : rimes féminine)On peut aussi constaté une absence de ponctuation, ce qui permet aux lecteurs de s’approprier le texte, en mettant lui-même les ponctuations où ils le souhaitent. L’auteur laisse donc une certaine liberté à son lecteur avis à vis de son poème. Enfin on peut observé comme une palette de sentiment dans ce poème grâce aux champ lexical : « nos amours » ligne 2, « La joie » ligne 4, «Les mains dans la mains restons face à face » ligne 7, « des éternels regards » ligne 10, « l’amour » ligne 13 et 14, «