le mariage de figaro
INTRO
Beaumarchais : dramaturge du XVIIIe, siècle des Lumières.
Publié en 1784 mais censuré, retravaillé. Un an plus tard, véritable succès. B fait critique sociale à travers pièce la noblesse, aristocratie protégées par Louis XVI. Suite du Barbier de Séville (mm personnages 3 ans +tard). Le Conte Almaviva cherche à séduire Suzanne (utilise droit de cuissage) et à écarter Figaro, son prétendant et valet du Conte. Malgré péripéties, Figaro et Suzanne parviendront à s’unir.
L’extrait est composé du + long monologue langue française. Partie du monologue de Figaro, celui-ci croit que sa fiancée Suzanne le trompe avec son maître le Comte Almaviva. Il veut les prendre un flagrant délit mais quiproquo. Monologue lyrique (sentiments jalousie, chagrin, réfléchit vie) et marque une pause dans la pièce.
Ce monologue d’un valet atypique, porte-parole de Beaumarchais est un monologue original.
I) un valet atypique / haut en couleur
A) Un valet qui dépasse son maitre / un homme d’esprit
Valet parle librement et longuement en s’adressant public : choc
prend place maître, mm titre le place en 1ere place
Monopole de la parole : monologue le + long de dramaturgie française
B) Un homme d’esprit
Il se démarque du valet de comédie classique. L’auteur attribue à Figaro des qualités supérieures à celles d’un simple serviteur. il touche à tous les domaines scientifiques, religieux, géographiques.
Voc recherché : périphrase l28 « la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur… » il est instruit « chimie la pharmacie, la chirurgie » philosophe : rétrospection, doute, réfléchit une culture de l’ailleurs accumulation « Tunis, Alger, Maroc » (l.21)
C) Un personnage « tragique »
≠ valet comique, bon vivant : sensible et blessé femme trompe + situ sociale fragile (ton sombre didascalie au superlatif (contraste début pièce)
Contexte s’y prête Souffrance : ponctuation