Le monde de nike
1. En quoi la production et la vente de chaussures Nike s’inscrivent elles dans le processus de mondialisation ? La mondialisation créé un échange important de flux internationaux (matières premières, financiers, transport,…) favorisant le commerce par divers moyens. Les différents supports d’informations sont utilisés à des fins commerciales. Nike s’inscrit dans cette optique. Elle mène d’énormes campagnes publicitaires afin de rentabiliser son nom et son image à l’échelle mondiale. En délocalisant ses productions la société espère faire un maximum de profits. 2. La mondialisation tire profit des différences mondiales et conduit en même temps à l’homogénéisation ? Comment ces affirmations s’appliquent-elles ici ? La mondialisation actuelle est ultralibérale. A l’instar des frontières géographiques, les frontières économiques ont tendance à disparaître. Le phénomène semble ouvrir aux classes moyennes l’accès à la consommation de masse. Néanmoins ces biens restent encore inaccessibles aux plus démunis. La « globalization » profite et accentue les inégalités de développement (ex : technologie) et de richesse à échelle mondiale et locale. Elle accroît la concurrence entre les producteurs et les fournisseurs malgré sa volonté d’homogénéiser la consommation au niveau mondial. Les travailleurs sont sous-payés. 3. Qu’est ce qui revient le plus cher à l’entreprise Nike ? Quel est donc son objectif principal ? L’Air Pegasus est considéré, à la fois comme objet matériel et comme objet social. Nike va investir des sommes considérables pour pérenniser son image de marque tout en s’appuyant sur des sportifs reconnus (M.Jordan ex basketteur). Elle cherchera à réduire ses coûts de productions. Ne possédant pas d’usines, la société sous traite avec les pays du « Sud » où la main d’œuvre est peu onéreuse. La marque limite au maximum ses dépenses de stockage et produit en fonction de la demande (rotation des stocks plus rapide). 4. Décrire