Le métier de Psychologue
Au lycée je consultais régulièrement les fiches métiers dans des sites internet tels que l’ONISEP ou lesmétiers.net pour avoir une idée du salaire, des débouchés, des différentes branches et des opportunités que pouvais m’apporter le métier de psychologue.
J’ai pu très vite constater que le métier de psychologue était très stéréotypé. On dit souvent ; que c’est un métier sans débouchés, sans avenir, saturé, que les psychologues sont payés a rien faire…d’autres perçoivent les psychologues comme des voyants qui cerne d’un coup d’œil la personnalité d’un individu… mais malgré tout j’ai quand même voulu me faire ma propre opinion en m’inscrivant en première année à l’Université du Mirail.
Lors de mes années L1 et L2 : j’ai suivi des cours d’histoire de la psychologie, (ou on apprenait les définitions, les auteurs de certains courants, de concepts clés…), des cours appelés techniques d’expérimentations (qui nous apprenait les différents outils essentiels au métier), les cours de psychophysiologie (centré sur les aspect biologiques), de psychanalyse ( avec les théories Freudienne et Lacaniennes) Etc. ces cours offrait une grande palette de spécialités différentes qui contrairement à mes attentes étaient indispensables pour la suite de mon parcours.
J’ai compris alors qu’il y a une grande variété de psychologues : il y a des psychos cliniciens, de neuropsychologues, de psycho gérontologue, psycho ergonomes... chaque psychologue suit un courant théorique et des outils spécifiques mais ils ont tous un point commun, c’est celui d’être soumis aux règles du code déontologiques.
Pendant mon année de L3 j’ai pu réaliser un stage conseillé en maison d’accueil spécialisée. Ce stage d’observation m’as permis de rencontrer deux psychologues cliniciennes ( les neuropsychologues étaient déjà en vacances). J’ai pu constater qu’elles intervenaient auprès des résidents, comme du personnel et des familles. Bien que mon idée était de m’orienter