Ma dissertation commence par une citation de Michel Foucault sur le pouvoir : « Le pouvoir n’est pas quelque chose qui s’acquiert, s’arrache ou se partage, quelque chose qu’on garde ou qu’on laisse échapper ; le pouvoir s’exerce à partir de points innombrables, et dans le jeu de relations inégalitaires et mobiles ». Pour moi il ne faut plus définir ce qu’est le pouvoir mais plutôt d’essayer de saisir ses manifestation entre individus, dans les institutions et a travers les systèmes qui mettent en place, ainsi que les relations domination qu’il instaure ainsi entre les corps .A partir de la ensuite, il faudra voir si le pouvoir entraine la coercition

Quand un individu détient un pouvoir sur quelqu’un d’autre, cela signifie qu’il peut lui faire faire, faire des choses qu’il ne ferait pas de sa propre initiative. Pour se soumettre a se pouvoir il y’a une forme de dépendance qui parfois est innée (parent / enfant) c’est la forme dominant /dominé.
Notre société est basé sur les statuts sociale, cela ce représente par le fait que plus vous êtes haut dans la société, plus vous vous sentez en droit de dirigé, c’est se que l’on appel le pouvoir légitime. Cela repose sur la fonction est non sur la personne .C’est pour cela que le pouvoir n’a pas de réel possesseur est peut changer de main a tout moment, a tout instant le dominé peut devenir dominant et vis vers sa.
Par de la le pouvoir est parfois exercée a leur insu, par exemple le patron qui demande a son assistance de terminer au plus vite le travail. Assistance trouvera ca normal que de finir son travail.
Cela nous amène a parlé de la place de la coercition dans le pouvoir.
La coercition c’est le fait d’exercée un pouvoir contre quelqu’un, pour le forcer à agir ou l'amener à s'en abstenir. Elle existe par la violence ou sa menace, physique et/ou psychique.par de la ont s’aient plus ou moins que le pouvoir implique le contrôle donc une certaine forme de soumission .de plus les subordonnés peuvent suivre les