Le poême l'automne de lamartine
Plus de cent cinquante ans déjà depuis son décès, Lamartine était encore et toujours glorifié comme un des poètes français les plus connus du Romantisme du XIX siècle avec ses vers sinistres et exceptionnellement éminents comme le poème “L’Automne” avec sa chaîne de perles de mots magnifiques.
Ce poème, écrivant sous la formation du quatrain avec la rime saccadée à la fin des vers comme par example “verdure, nature, épars, regards,” et l’hémistiche dans chaque alexandrin, ne reflète pas seulement la vision romantique et merveilleuse vers la nature du poète mais aussi un symbole, un métaphore parfait de la vieillesse et de la mort.
“L’Automne,” écrit probablement en 1819, embrasse de haut en bas les traits mélodieux de la saison avec des vers pittoresques comme: le tapis de “feuillages jaunissants sur les gazons épars”[1] ou “le soleil d’or pâlissant et sa lumière si faible mais pure,”[2] . . . Tous ces aspects là “d’une automne expirante dans la sérénité des derniers jours d’octobre”[3] reflètent la profonde tristesse de l’homme devant l’expression de l’impermanence de l’existence qui lui fait accepter le destin de l’humaine sous le fouet impitoyable de la viellesse et du décès: “Salut, dernier beaux jours! . . . c’est l’adieu d’un ami, c’est le dernier sourire, des lèvres que la mort va fermer pour jamais, ainsi, prêt à quitter l’horizon de la vie,”[4] mais pourtant on a eu peur de la mort et cherché inlassablement la voie pour échapper à ce destin intolérable mais malheureusement enfin, on est la victime d’un triste sort qu’on ne peut pas choisir. Les sentiments profonds du poète ont transformé la saison physique “automne” en “une saison mentale.” La richesse et variation