Introduction
A vingt mille lieux des études d’architectures, je me guidais sérieusement au départ vers le domaine culinaire, en effet, je souhaitais devenir chef cuisinier. Face à une trop grande pression opéré par mon entourage, et par peur, j’ai fui cette filière pour ensuite me recentrer sur l’art en général. Bravant les plus grandes écoles d’art afin de savoir comment elles fonctionnaient, mon attention s’est alors portée sur une spécialité qu’il était possible de choisir après trois ans d’études dans ces établissements : l’architecture d’intérieure. Après maintes réflexions quand à l’existence d’architectes d’intérieurs, et d’architectes d’extérieurs, j’en suis arrivé à penser que pour moi il n’existait que des architectes tout courts, qui traite l’intérieur et l’extérieur. Encore une fois ayant fait fausse route en me projetant dans une des ces écoles d’art, je n’étais pas si mécontent parce que j’étais à peu près sûre d’avoir trouvé les études que je voulais faire. C’était les études d’architectures qui me convenait le plus, il suffisait en fait de ne pas aller chercher trop loin, car ayant pour père un architecte, j’étais déjà un peu au courant de la chose. Sans m’y intéresser particulièrement durant mon enfance, mes allers/retours dans son agence m’ont tout de même permis de savoir un minimum en quoi consistait ce métier. Alors, fidèle à moi-même, j’ai choisit de mettre toutes les chances de mon coté en tentant huit écoles d’architecture à chaque coin de la France. Huit mois plus tard j’étais assis dans l’amphithéâtre Maglione de l’ENSAG.
Durant mon petit parcours dans cet établissement, et afin de choisir dans mes enseignements de projet, il m’a toujours semblé plus pertinent de discuter avec les gens de leurs expérience dans les ateliers, plutôt que de lire les présentations écrites, ou même encore les discours de chaque enseignant. Pour me guider j’ai aussi mis en place certaines convictions, des fondements que je me suis attaché à suivre le plus