Dans son roman Le Père Goriot, Balzac décrit les lieux avec énormément de réalisme. Tout ce qu'il y décrit est a véritablement existé ou existe encore. Mais en plus du réalisme des descriptions, chaque lieux possède une symbolique très précise et représente quelque chose d’important dans l’œuvre.
Le roman débute rue Neuve-Sainte-Geneviève, actuellement rue Tournefort, elle est la limite entre la richesse et la pauvreté, entre le faubourg Saint-Marceau et le quartier latin. Elle est située sur la montagne Sainte-Geneviève que Balzac a choisit car c’est une hauteur sombre et pauvre de Paris. Cela symbolise que Eugène de Rastignac doit se rabaisser et renier ce à quoi il croit lorsqu’il arrive à la pension Vauquer, pour se rapprocher de la richesse et du grand monde.
La pension Vauquer elle-même à une symbolique particulière, derrière sont aspect réaliste où elle est décrite comme une pension miteuse, elle représente aussi la société. A chaque étage correspond une classe sociale définie par l’argent. On y retrouve différentes générations et le langage propre. De plus dans cette pension comme dans la société, le Père Goriot est rejeté.
Rastignac étudie à la faculté de droit de Paris.
L’église où ont lieux les obsèques du père Goriot et la même que celle où se rendent Mme Couture et Melle Taillefer le dimanche. Il s’agit de l’église Saint Etienne du Mont.
La rue des Grès est la rue où l’on trouve l’aristocratie c’es là que vit Mme de Beauséant , on y trouve aussi beaucoup d’escompteurs et où Goriot échange ses biens contre de l’argent pour ses