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Le réalisme et le naturalisme

1610 mots 7 pages
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Français
1/. Le réalisme et le naturalisme

1.1 Le portrait(réalisme)
Les caractéristiques du réalisme (= manière de se rapprocher de l'ordinaire): -La réalité n'est pas embellie et elle est décrite sous tous ces aspects, même les plus négatifs. On va mettre en scène les personnages dans leur milieu social, même les plus populaires. -La fin du récit réaliste n'est pas toujours positive. Au contraire, elle est souvent dramatique voir même tragique. -Les descriptions sont très détaillés et très nombreuses. On décrit le décor, le personnage, les odeurs, l'atmosphère, etc. La description rempli la fonction visuelatrice. Elle permet de rendre le plus réel possible ce qui est décrit. Le narrateur fait donc une pose descriptive. Il interrompt l'histoire pour décrire. -La voix narrative est omniscient. Le narrateur donne une vision panoramique de tout de ces personnages (leur passé, leur futur, leurs pensées,...) Il semble rester en retrait de l'histoire (récit en il) ce qui donne une impression d'objectivité. Pourtant l'auteur narrateur rentre dans les personnages eux-même, exprime leur vision des choses et donc utilise le discours indirecte libre. -L'intérêt historique et documentaire. Parfois il y a l'évocation de grands évènements historique qui son contemporain aux auteurs. L'évocation des mœurs de toutes classes sociales. Il fait un peu comme une analyse scientifique sur la manière de vivre de leur contemporain. En conclusion: Le soucis de représenter la réalité le plus objectivement possible implique de la part des auteurs un choix parmi tous les éléments que la réalité apporte. Ils ne peuvent donc jamais rendre compte de la totalité de cette réalité. Ils choisissent les éléments les plus pertinents par rapport à leur sujet. C'est pour cette raison que Maupassant appelle les réalistes; les illusionnistes; parce qu'ils nous donnent seulement l'illusion de la

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  • Le joueur d'échecs, stefan zweiggi
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    Elle représente donc un texte narratif, une histoire racontée par un narrateur souvent à la 1re ou 3ème personne. Elle est en général courte et peut se lire en une seule lecture, il y a peu de personnages et de lieu différents. Cette nouvelle est un récit-cadré ou récit dit « enchâssant », c’est une histoire dans lequel sont emboîté une ou plusieurs autre histoire. Le premier récit enchâssé est en l’occurrence celui de Mirko Czentovic, il occupe une place dominante dans la nouvelle car c’est….

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  • La guerre (la bataille de marignan) de clément janequin
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    La Guerre (La Bataille de Marignan) de Clément JANEQUIN sommaire 1. présentations 2. texte 3. glossaire Galloys - Orrez - Ruez - Phiffres - Tabour - Avanturiers - La lance au poing - Haquebutiers - Frisques mignons - Donnez dedans - Alarme - Assaisonne - Clarons - A l'estandart - Boute selle - Gens d'armes à cheval - Bombarde - Courtaux - Faulcons -….

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  • Analyse dame de pique
    4101 mots | 17 pages

    Le narrateur est extérieur au récit et tout au long de l’histoire, il utilise la 3ème personne. La nouvelle commence par « on jouait », « la vieille comtesse était dans sa chambre », « il avait de violentes passions et une imagination ardente ». La nouvelle se déroule pendant un hiver en Russie, à Saint-Pétersbourg. L’auteur précise….

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  • Fiche de lecture thérèse desqueyroux
    1043 mots | 5 pages

    Mais qui est-elle ? Le sait-elle elle-même ? Dans ce récit, le narrateur est omniscient, en effet ce dernier est une personne extérieure à l’histoire mais qui connaît les pensées des personnages. Différents registres sont utilisés dans ce livre, celui du tragique car il y a un fond funeste mais….

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  • Une botte de thérese raquin
    2810 mots | 12 pages

    A son retour, il ne parle plus. On est tenté de parodier le dicton et dire « à despote, despote et demi », on dirait que le narrateur se délecte de ce destin qui a provoqué un renversement des valeurs. Le narrateur montre une grande volonté de manigancer, voire de se venger, par la dérision. Le vocable père a été déchargé de tout sème exprimant un lien affectif. Cette figure ne porte pas de nom, il s’agit tantôt de père, tantôt de cet homme , ce type ou géniteur, une forme d’expression qui rompt avec tout affect et réduit le rôle du père à la fonction biologique .….

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  • Les fleurs bleues
    737 mots | 3 pages

    Il vien t de la classe populaire il est d’un carac tère rêveur et insatisfait. Personnages secondaires : · Démosthène : Il tient son nom d’un grand orateux grec . C’est un cheval savant, cultivé et qui s’exprime extrêmement bien. · Stéphane : C’est le cheval de Mouscaillot qui parle lui aussi. Narration, point de vue, type de narrateur : · Narrateur : externe · Point de vue : Omniscient Le langage : · On retrouve un jeu sur le langage avec le mélange de la langue ancienne et de la langue moderne.….

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  • une partie de campagne
    820 mots | 4 pages

    ne fait pas partie de l'histoire donc le récit est à la 3eme personne : « Mme Dufour » par exemple, il est juste spectateur et perçoit les personnages de la scène et nous raconte ce qu'il voit. Mais donc on n'a pas accès aux pensées des personnages il voit juste les fait et gestes des personnages. Dans ce texte, du coup, le narrateur veut plutôt nous décrire un moment passé, une scène comme dans ce passage en utilisant la focalisation externe. Il y a sens qui est plus prononcé, c'est celui de la vue. Dans tout le texte, le narrateur nous décrit seulement ce qu'il perçoit et rien d'autre.….

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  • Les faux-monnayeurs de gide. une polyphonie
    2402 mots | 10 pages

    Les Faux-monnayeurs de Gide. Une polyphonie Les numéros de pages renvoient à l'édition folio des Faux-monnayeurs d'André Gide. Dialogues Les dialogues assument plusieurs fonctions ; ils ne sont pas là seulement pour apporter des informations. * parfois ils révèlent, décryptent, détrompent : un des meilleurs exemples est celui de la longue conversation du livre II (chap. 4) entre Bernard et Laura, en particulier p. 198.….

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  • Pierre et Jean de Guy de Maupassant
    1738 mots | 7 pages

    Un autre procédé utilisé est l’intervention du narrateur, il juge un personnage ou un décor, rendant non seulement l’état d’esprit dans lequel se trouvent les personnages à ce moment-là, mais cette technique lui permet aussi de rendre plus crue et plus directe sa critique de la société bourgeoise, tout en créant une forte complicité avec son lecteur. Ex : « les quatre Roland se regardèrent, troublés par cette nouvelle comme le sont les gens de fortune modeste » (ch. I) le narrateur se place ici « au-dessus » des personnages et la suite du paragraphe (à lire) est une généralité, qui rend la famille banale, ordinaire. «….

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  • Happy meal
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    Dans toute l’histoire, les personnages ne sont pas présentés dans les détails/avec précision, sauf, à la fin, où la fille est décrite. II- III- Le narrateur est un homme dont on ne sait ni le nom ni l'âge. Il nous raconte son déjeuner au McDonald avec une jeune compagne qui semble beaucoup lui plaire car dans le texte il la décrit de manière méliorative et romantique ( comme par exmple, il dit : « cette fille je l'aime, j'ai envie de lui faire plaisir, j'ai envie de l'inviter à déjeuner ). Il retient beaucoup d'attention sur sa jeune compagne. Cet attachement semble d'ailleurs réciproque car chacun est attentif à l'autre.….

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  • chap 1 ldm
    1159 mots | 5 pages

    Séance 1 : L’incipit du récit Motivations du récit autobiographique, destinataires, fonctions de l’écriture (Gallimard, collection Folio, p. 9 à 11, jusqu’à « maternel fantôme ») A) Travail préliminaire Faire lire aux élèves l’incipit des Confessions de Rousseau (« je forme une entreprise qui n’eut jamais d’exemple » jusqu’à « je fus meilleur que cet homme-là) ; leur faire dégager le » pacte autobiographique « (l’auteur-narrateur-personnage s’engage auprès de ses lecteurs -à qui il s’adresse directement- à ne convoquer que des faits authentiques) et leur faire remarquer que la dimension rétrospective implique une distance entre temps de l’énonciation (le » je « du présent de l’écriture) et le temps de la narration (le » je " du passé)...….

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  • Corpus
    488 mots | 2 pages

    Ce corpus nous présente quatre extraits de roman ayant comme thème principal la vision de l’homme et du monde : le premier extrait, « Le spectateur français » de Marivaux, écrit en 1745, justifie l’ambition de l’écrivain d’ »examiner les hommes » avec lucidité ; le deuxième, « Les Gommes » de Robbe-Grillet, écrit en 1953, décrit un scène familière à son personnage qu’il exécute machinalement ; le troisième, « L’immortalité » de Kundera, paru en 1990, raconte l’histoire d’Agnès, un personnage fictif surgi d’une rencontre entre le narrateur et une dame sexagénaire ; enfin, le quatrième extrait « Les Ames grises » de Claudel, paru en 2003, raconte l’histoire d’un homme vu par tout le monde comme intimidant sauf par le regard d’une jeune fille, qui elle, le surnommait Tristesse. Ces quatre extraits de romans présentent des points communs et des différences dans leur manière de présenter les personnages : Tout d’abord, les auteurs de ces textes présentent et décrivent leurs personnages d’un point de vue extérieur, en effet, dans ces textes, les personnages ne se décrivent pas eux-mêmes pour que le lecteur garde une certaine distance et un avis objectif par rapport aux mœurs des personnages qu’ils dénoncent. Toutefois, les narrateurs adoptent différents point de vue : dans « L’immortalité » et « Les Ames grises », les narrateurs de ces deux textes utilisent le discours direct : « Si on me demandait par quel miracle je sais tous les faits que je vais vous raconter, je répondrais que je les sais, un point c’est tout ».….

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  • Le personnage de meursault
    1417 mots | 6 pages

    Le personnage principal s'appelle Meursault. Le nom du narrateur n'est sans doute pas anodin. On peut en effet penser à « meur » qui renvoie à la fois à la mer et au meurtre et « sault » qui fait phonétiquement référence au soleil. Nous constatons une absence de portrait physique, sans doute parce que de cette façon, le lecteur peut plus facilement s'y identifier. On ne connait que son nom et son appartenance socioprofessionnelle.….

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  • Conduite du changement
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  • Commentaire
    2109 mots | 9 pages

    Nous étudierons successivement la présentation des personnages, puis le ton et le décor, qui suggèrent d’abord un univers de rêve puis un monde de cauchemar, et enfin l’expresion du lyrisme, qui mêle tradition et invention. I) Présentation des personnages 1) Les deux protagonistes et les deux personnages rencontrés L’homme qui dit « je » n’a de nom que dans le titre. C’est lui qui raconte l’histoire et qui l’a vécue dans un passé indéterminé, « Un soir (…) à Londres » (v. 1). La femme, qui fut « bien aimée » (v.12), n’est pas davantage nommée. Elle apparaît d’abord comme « tu » dans le discours du Mal-Aimé….

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