Introduction
Le texte choisi a pour titre : Le rôle de la communication familiale et de l’estime de soi dans la délinquance adolescente[1] et le thème principale est définit dans le titre. Les auteurs de ce texte amènent l’hypothèse que la communication familiale a un effet indirecte sur l’estime de soi, que les différents types d’estime de soi ont des conséquences sur les différents niveaux de l’adolescence. Ils tentent de démontrer que l’estime de soi familiale et scolaire ont un effet protecteur par rapport aux comportements délinquants et que l’estime de soi sociale et physique ont un effet de risque pour ce genre de comportements. Les recherches précédentes ont prouvées que les adolescents délinquants sont souvent entourés d‘une ambiance familiale négative et une mauvaise communication avec leurs parents. Au contraire, les adolescents ayant un comportement moins délinquant ont une bonne ambiance familiale et leur résolution de conflit avec leurs parents est basée sur le dialogue. Les auteurs ont entre autre utilisés ces informations pour formuler leur hypothèse.
Développement
Les participants de cette étude venaient tous d’Espagne et étaient âgés entre 12 et 20 ans. Ces adolescents venaient d’écoles publiques et privées et venaient d’un contexte rural et urbain. Le niveau de formation des parents allait du primaire à l’université et les types de famille étaient autant nucléaires que monoparentales. L’étude mesurait trois facteurs : la communication familiale, l’estime de soi et la conduite délinquante. La communication familiale était observée aussi bien avec la mère qu’avec le père, cette observation a montré qu’une communication ouverte avec les parents a une relation non négligeable avec des variables d’estime de soi et de support social. Les différents domaines observés de l’estime de soi (familiale, scolaire, social et physique) ont montrés un lien direct avec un fonctionnement familial positif. Tant qu’aux mesures prises sur a conduite délinquante,