Le soleil des scorta
1. Se sent on plus en liberté maintenant que nous sommes européens ?
On se sent plus libre maintenant que nous sommes européens, nous avons le droit de circuler, de séjourner, d’étudier et de travailler sur le territoire des autres pays membres (article 20 du traité sur le fonctionnement de l’Union Européenne).
Toute personne ayant la nationalité d’un état membre est citoyen de l’Union.
Un numéro d’appel d’urgence a été mis en place (112), il y a aussi la carte maladie qui aide les personnes qui ne sont pas dans leur pays. Tous les pays de l’union européenne se regroupe pour pouvoir aider les pays en difficultés économiquement ou pour des catastrophes naturelles. Les gens peuvent se sentir en sécurité et en liberté car les pays essaient de faire le mieux pour satisfaire les besoins de tous.
(http://europe.cidem.org/index.php?p=etre-citoyen)
2. Risque-t-on d’avoir un replis xénophobe ?
La Commission rejette et condamne toutes les formes et manifestations de racisme et de xénophobie. L'Union Européenne a introduit un large éventail de mesures pour lutter contre le racisme et la xénophobie. Ces mesures incluent divers textes législatifs : La décision-cadre sur la lutte contre le racisme et la xénophobie, qui pénalise l’incitation publique à la violence ou à la haine fondée sur la race, la couleur, la religion ou l’origine nationale et ethnique. La législation interdisant la discrimination aux contrôles aux frontières.
La commission fournit aussi une aide financière pour diverses activités :
·Le programme «Droits fondamentaux et citoyenneté» pour lutter contre le racisme, la xénophobie et l’antisémitisme.
·Le programme pour l’emploi et la solidarité sociale (PROGRESS) pour mettre en œuvre le principe de non-discrimination.
L’Union Européenne met donc tout en œuvre pour ne pas qu’il y est plus de xénophobie dans tous les pays qui en font partis.