Rudy vlody
NRC FEV 12
Culture générale

Véritable phénomène de société, le sport apparaît aujourd'hui comme incontournable. Ses enjeux économiques mais aussi politiques le font largement déborder du cadre du simple loisir. Peut-on pour autant affirmer, que «le sport est une religion qui a trop de croyants et pas assez de pratiquants » ? La question se pose d'autant plus que par certains aspects, le sport tendrait à remplacer les rituels religieux autour desquels s'organisait la vie quotidienne autrefois. Après avoir montré en quoi le sport peut être considéré comme une religion, nous verrons qu’il est néanmoins peu pratiqué.
Le sport et la religion sont des éléments courants dans la vie quotidienne des gens. En effet, le sport est aujourd’hui dans le monde entier porté au rang d’une nouvelle religion tellement les foules le sacralisent. Le sport rassemble, fidélise avec la notion de supporters : Partisan d'une équipe ou d'une personne à qui il apporte son soutien exclusif. Les partisans fanatiques sont animés, comme dans une secte par la même passion. De plus, Il faut qu’il y ait un dépassement de soi et la souffrance qui sont des principes fondateurs des religions. Le sport et la religion ont donc bien une relation particulière même si nous avons pu constater les dérives du sport. C’est donc au sens premier de « religion », lien entre les êtres, que le sport peut prétendre apporter un remède à la diminution de l’attrait pour les religions. Voyons donc maintenant dans une deuxième partie pourquoi il compte pourtant peu de pratiquant.

Le sport à donc de nombreux croyants, mais n’a pourtant pas autant de pratiquants. En effet être pratiquant d’un sport, demande d’autres efforts qu’émotionnel, comme les efforts physiques, un bon entrainement ou une bonne condition physique. Pratiquer un sport peut avoir aussi des contraintes, beaucoup de supporters, ne veulent pas pratiquer le sport qu’ils aiment regarder, car cela peut leur demander certaines