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Le sport a un potentiel extraordinaire. Il a la capacité de mettre en relation les gens, de leur apprendre à respecter des règles du jeu communes, à se comporter dignement dans la victoire comme dans la défaite. Néanmoins, il n'est pas une panacée. Il ne peut qu'être le reflet de la société dans laquelle il baigne et, à ce titre, aussi bien de ses valeurs que de ses maux. Le sport pose parfois même un problème en tant que tel parce qu'il renforce certains stéréotypes. Il devient alors un vecteur de discrimination sur deux points. En effet, Tous les garçons durant mon collège ainsi que le lycée ne supportaient voir une fille jouer car elle leur paraissait febrile donc faible. De même, l'idée que le Noir est plus athlétique que le Blanc, m'a legerement marquée lorsque mon professeur d'eps de seconde avait effectué deux équipes, une blanche et une "noire". Idée fausse, preuve par excellence, les blancs avaient gagné. Nier l'existence des discriminations dans le sport n'a rien de constructif. On observera à ce propos que, pour lutter contre la discrimination et le racisme dans le sport, des politiques publiques instaurent des mises en place qui visent à considérer certain groupe issu de l'immigration comme des "minorités ethniques". Plus explicitement, les minorités ethniques en France concerne: les Noirs, Asiatiques et Maghrebins et représentent 75% des sportifs au niveau nationale. Ce pourcentage renforce cette discrimination envers cette minorités qui possède un niveau plus élevé "s'accaparent" de ce domaine. Les plus forts sont selectionnés et les plus faibles exclus intentionnellement, une idée généralement reçue- telle que l'homme comme étant plus fort que la femme.
De même pour le communautarisme. Il vise à fermer un groupe spécifique d'individu à un domaine sportif bien défini en lien avec ses propres valeurs. Prenons pour exemple le golf, ou le tennis qui sont des activités qui ont un atout majeurs sur les meeting professionnels. Un cadre ou un PDG va