Le sujet, l'inconscient
I. La théorie cartésienne du psychisme
1) Le dualisme cartésien
o Déterminisme = les mêmes causes produisent les mêmes effets
La réalité est composée de deux substances : la substance pensante (âme) et la substance étendue qu’est le corps. Ce qu’il appelle substance étendue correspond à l’ensemble de la réalité matérielle, à tout ce qui existe en tant que réalité corporelle occupant une localisation spatiale. Relève de la substance étendue, tous les corps et donc l’ensemble de la réalité minérale et vivante, l’ensemble des êtres vivants dont l’homme fait partie en tant qu’il a un corps. Néemoins l’homme, en tant qu’il est aussi esprit participe à la substance pensante et continue dans cet univers fait de pure matière une exeption. Autrement dit pour D, l’animal n’est que réalité corporelle, il n’est qu’une partie de la substance étendue, et la fameuse théorie cartésienne des animaux machines qui, s’appuyant sur le modèle des automates et de la montre, voit dans les êtres vivants, de simples mécanismes en mouvement obéissant au déterminisme naturelle. Le mouvement mécanique se caractérise par le fait que la force mouvante et extèrieure à l’objet qui subit le mouvement. Chaque mouvement ou changement dans la réalité materielle provient d’un choc, de choc en choc et de corps en corps. La substance matèrielle qui est pleine chez D subit des changements et des mouvements entièrementrégis par les loies déterministes de la matière.
Pour Aristote : o La mathématique = être immobiles et séparés (géométrie) o La physique = être mobiles et inséparés o La métaphysique = être mobiles et séparés o Cosmos = monde ordonné
Commentaire :
Le corps de l’homme ne fait pas exeption a ce detererminisme matèriel. Le corps de l’homme est une machine corporelle faite de rouages et de poulis, nous dit D. C’est : «une machine composée d’os et de chair telle qu’elle apparaît en un cadavre et obéissant