Le système financier et bancaire
SECTION 1 : Présentation générale d’un système financier et bancaire.
PARAGRAPHE 1 : Panorama des voies de financement.
Besoin de financement quand la capacité d’épargne n’est pas suffisante pour couvrir tous les besoins de financement (investissements pour les entreprises, administrations publiques…).
Cf. feuille en complément…
PARAGRAPHE 2 : Pourquoi l’intermédiation financière ?
Dans une conception purement libérale, les marchés de capitaux devraient suffirent au financement externe puisque l’on peut attendre d’eux une allocation optimale des ressources d’épargne (l’épargne doit se diriger grâce aux mécanismes du marchés vers les investissements les plus rentables). Autrement dit, l’épargne se dirige vers les investissements efficients.
L’efficience allocative (investissement allocative).
L’efficience informationnelle : les marchés incorporent quasiment instantanément toute information nouvelle.
L’efficience évaluative : les cours qu’affichent les marchés de capitaux sont conformes aux fondamentaux. Le cours d’une action reflète fidèlement et fiablement la valeur fondamentale de la société correspondante.
Théorie des coûts de transaction (Ronald Cose et Oliver Williamson).
Théorie de l’agence (de l’incitation) : théorie qui dérive de l’asymétrie d’information.
( Rôle des institutions financières :
- Rôle de « courtier », ou de « courtage » : l’entremetteur qui va mettre en contact les personnes possédantes apriori des objectifs antinomique mais qui malgré tout cherchent à trouver un terrain d’entente.
( Intermédiation relativement passive.
- L’opération de fractionnement : les institutions financières vont fractionner les gros lots de titres financiers pour en créer de plus petit qu’ils pourront proposer à leur clientèle.
( Intermédiation active.
- Opération de Traiding
Ces opérations permettent de réaliser des économies d’échelle, et permet donc d’abaisser le coût