Prise de notes lors de notre rendez-vous avec l'infirmière tabacologue.
La e.cigarette : il n'y a pas assez de retour, mais la fumer est moins toxique, que celle d'une cigarette. Elle contient dix produits chimiques dont 2% d'alcool, et le fumeur ne perd pas le geste. Un fumeur sur trois parles de la e-cigarette (interdit dans les chambres d'hôpital). Les médecins sont divisés à ce sujet.
Les produits palliatifs : ils coûtent cher et plus cher par mois que l'achat de cigarettes, mais permettent de pallier au manque. Pour un sevrage tabagique, il faut voire le budget sur l'année pour montrer que c'est moins cher que de fumer. Les substitues vont pallier au manques et détruire les récepteurs, ainsi, le seuil de manque va diminuer. L'assurance maladie aide à hauteur de 50€ par an les personnes qui veulent arrêter et 150€ quand il s'agit d'une femme enceinte.
Le CO testeur : montre le taux de CO avalé par un fumeur. Le CO prend la place de l'O2 sur l'hémoglobine. Il indique le taux d'oxygène en moins (entre 0 et 3% d'O2 en moins).
Nous sommes bloquer financièrement, les chimio coûtent cher. Si on interdit la vente de cigarette, nous n'aurons plus de pétrole. Augmenter le tabac, n'est pas une solution, car le nombre de fumeur augmente en France (début estimer à 12 ans).
Le nombre d'année augment les risques. Nous avons tous des récepteurs nicotiniques. Ce qui est délétère, ce n'est pas le nombre, mais la façon de tirer sur la cigarette. Une cigarette roulée équivaut à deux cigarettes blondes. Une personnes ayant eu un infarctus du myocarde sur deux reprend le tabac au bout de six mois, on oubli ce qui est mauvais, on en garde que les bons souvenirs. Il faut que le plaisir soit diminuer pour que le fumeur ait envie d'arrêter. Quand o, arrête le tabac, on reprend le contrôle de son cerveau car le tabac excite le corps, il ne le calme pas. C'est une dépendance que l'on ne contrôle pas. Pour fumer du cannabis, il faut fume du tabac. De plus on a tendance a associé, le