Le ventre de la fée, alice ferney : jugement de goût
Dans le cadre du cours de français, j’ai choisi de lire « Le ventre de la fée », d’Alice Ferney. Ce livre nous raconte l’histoire d’un violeur assassin (Gabriel), tout droit sortit du ventre de la plus attentionnée des mamans. J’ai choisi ce livre car le thème de l’histoire m’a attiré, et j’ai bien fait car j’ai apprécié la lecture, qui s’est faite rapidement, et simplement. La représentation du bien et du mal par deux personnages du même sang rend la lecture intéressante.
En premier lieu, j’ai décidé de lire ce livre en entendant le bref résumé fait par le professeur. Celui-ci a réussi à m’attirer. Je suis vraiment intéressé par la psychologie, de savoir ce qui se passe dans l’esprit des gens « normaux », ou comme ici, d’un assassin. Ce genre d’analyse comportementale me plait. C’est en plus la première fois que je lis un livre qui me permet de me glisser dans les pensées d’un tueur, et non pas du coté de la justice. J’ai pu ainsi tenter de comprendre Gabriel et les actes terribles qu’il a commis.
Ensuite, la lecture du livre s’est présentée à moi comme facile et rapide. De par son vocabulaire simple, mais également grâce à une ponctuation parfois un peu négligée. Exemple : […] continuent leur ballet, souples légers écartelés portés […]. Il y avait une bonne fluidité dans le texte, malgré un début un peu lourd en détails. J’ai pourtant lu le livre d’une traite, et sans m’en lasser.
Pour terminer, le paradoxe entre la mère de Gabriel et Gabriel lui-même est surprenant, mais captivant. Savoir que quelqu’un de bien peut procréer quelqu’un de très mauvais est dérangeant et donc attrayant. On observe à travers le livre que le bien et le mal peuvent se côtoyer, et j’irais même jusque dire s’équilibrer. En effet, lorsque la maman de Gabriel était encore en vie, celui-ci pouvait contenir ses pulsions et ses désirs. Ce n’est plus le cas lorsque sa maman décède.
Le livre nous propose donc un concept