Le vieux qui lisait des romans d'amour explication partielle
« Antonio José Bolivar ôta son dentier, le rangea dans son mouchoir et sans cesser de maudire le gringo, responsable de la tragédie, le maire, les chercheurs d’or, tous ceux qui souillait la virginité de son Amazonie (…) »
Ce passage dénonce le mépris qu’à Bolivar envers ceux qui ruinent les richesses de sa patrie, avec la colonisation forcée et la déforestation de la forêt amazonienne. Lorsque Luis dit qu’ils souillent la virginité de l’Amazonie, il veut enfaite dire qu’ils exploitent des ressources qui n’avait pas été exploité et qui ne devrait pas l’être. C’est aussi avec se même point de vue qu’il décrit les profondeurs de la forêt, n’ayant pas été exploité, il dit alors : « (…) l’emportèrent dans les profondeurs de la forêt, vers les territoires jamais profanées par l’homme blanc (…) ». Ainsi, nous pouvons dont affirmer que d’un certain point de vu, les personnages font de ce roman, un ouvrage fortement écologique.
Les lieux sont, eux aussi, signes de présence écologique dans le texte. Encore une fois, Le personnage principal se divise en deux. Il est déchiré entre la forêt amazonienne, où se trouvent les Shuars, et El Idilio, ou sont les colons, les chercheur d’or, le maire et les gringos, tous des gens qu’il