Le voyage d’Emma détermine la progression du texte car ici on distingue grâce à la description détaillée de son voyage « Il y avait un poteau, ensuite un orne, une grange ou une cahute de cantonnier » Le détail montre aussi la progression du texte car un élément après qu’elle ne le voit plus n’est plus décrit. « Les pommiers à fille se succédaient ; et la route, entre ses deux longs fossés pleins d’eau jaune »C’est donc ainsi que l’arrêt de la description de certaines choses montre la progression de l’hirondelle et que le but va être atteint au fil des lignes.
Le temps dans ce texte est traité de différentes manières. Tout d’abord, nous avons l’emploie de l’imparfait pour la description « glissait », « parlait ». L’utilisation de l’imparfait montre aussi des actions non achevées « allait », « savait ». Ensuite, il y a aussi le temps ressentit par Emma qui n’est donc pas le temps réel car elle trouve le temps long, vu qu’elle a l’habitude de le faire et elle a hâte de retrouver son amant. « Emma la connaissait d’un bout à l’autre ». Pour finir le temps réel celui-ci n’est pas aussi long que ce que ressent Emma. La description du voyage correspond à tous ce qu’Emma peut voir pendant son voyage. Celle-ci n’est pas très longue ce qui montre que le voyage n’est pas très long.
Dans ce texte les procédés utilisés sont la narration et la description. ICI la description est très employée et est très précise pour monter une forme de réalité. « Quelque chose de vertigineux se dégageait pour elle de ces existences amassées, et son cœur s’en gonflait »Et cette description rend moins monotone le voyage. Ensuite, l’utilisation de la narration sert de transition entre la description de différents lieux et elle est utilisée pour montrer les sentiments que peu avoir Emma lors de ce passage et montre son envie de retrouver son amant. Le lien de ces deux procédés est que l’un sans l’autre le texte ne peut pas avancer.
La description dans ce texte est très précise. Tout d’abord