Le paysan parvenu

Je vais vous présenter une lecture de la page 90 à 92 du Paysan parvenu de Marivaux.

Marivaux, écrivain et journaliste emblématique du siècle des Lumières connu pour son théâtre, est auteur de nombreux romans comme son oeuvre Le paysan parvenue publié en 1735 et La vie de Marianne (1731-42) et le père prudent et équitable (1712)
Son oeuvre est marqué par sa réflexion moraliste et sa critique sociale

Le paysan parvenu oriente vers l’univers de la campagne et vers l’idée de réussite, d’ascension social.

"Je passais le Pont-Neuf entre sept et huit heures du matin, marchant fort vite à cause qu’il faisait froid, et n’ayant dans l’esprit que mon homme.

Quand je fus près du cheval de bronze, je vis une femme enveloppée dans une écharpe de gros …afficher plus de contenu…

Où demeurez-vous …afficher plus de contenu…

" Coutume d'être vermeille "

Au fur et a mesure il décrit la bonne femme de par son apparence et ce qu'elle porte : " face ronde, succulemment nourrie ", la rondeur de son visage, sa blancheur et son embonpoint* qu'on en pût bien décider " *Corps en chair
Ce qu'il traduit c'est qu'il était difficile de lui donner son âge exacte

"ces sortes de femmes-là ; c’est là leur uniforme, et il ne m’avait jamais plu."

Car les figures de femmes avaient une sorte d'austérité critique qui en voulait à tout le monde.

"Madame"

Il garde une certaine distance.

" Mon enfant "

Qui se traduit par une marque d'affection envers ce