Le soleil C-BLe soleil
Charles Baudelaire
1er mouvement : “Balade du poète dans la ville en recherche d’inspiration” ou “La balade du poète dans une ville délabré”
Vers 1:
- L'utilisation du verbe "pendre" suggère la lenteur et l'ennui dans cette ville étouffante accentuée par le paradoxe avec la ville qui semble vide et pourtant qui est le lieu de “secrète luxure”. - vocabulaire dévalorisant "vieux", "pendent", "faubourg", "masures" qui évoque l'aspect misérable du quartier elle apparaît comme …afficher plus de contenu…

- Ses pouvoirs ne se limitent pas à se protéger de la mort, puisqu'il donne aussi la vie comme l'indique le verbe "éveiller"
- Premier pouvoir du soleil, ce derniers peut éveiller des roses et des vers, premier indice quant à la comparaison entre l'auteur et le soleil (et rappelle la section spleen et idéal avec cette alliance du sublime et de l'horrible)
- Comparaison entre "vers" et "roses" (Les vers mangent les cadavres / Les roses sont symboles de la beauté) ainsi le soleil incarne l'alliance de l'horrible et du sublime.
- "roses" symbole de beauté entre en désaccord avec les chloroses qui est signe de maladie, ce qui est en lien avec l'écriture de Baudelaire qui met en parallèle le beau et le …afficher plus de contenu…

- polysyndète en "et" montre que ses pouvoirs sont sans fin.
Vers 13 et 14
- Assonance en i : "lui", "qui", "rajeunit", "filles" qui fait entendre les rires des miséreux qui retrouvent les douceurs de la jeunesse.
Vers 13
- "porteurs de béquilles" / " jeunes filles" : antithèse qui montre que le soleil à des vertus sociales car il transforme la vieillesse en jeunesse en les comparant à "des jeunes filles", symbole de pureté, le soleil leur rend leur innocence et donc leur gaieté. Le soleil fait comme l'alchimiste qui transforme la boue en or ce qui prouve que le poète et le Soleil sont tous