Legislation
La responsabilité infirmière
RESPONSABILITE : celui qui se porte garant, qui répond de ses actes.
LEGALITE : conforme à la loi
LEGITIMITE : juste et admis par la loi
L’homme est doté du libre-arbitre ce qui lui donne des responsabilités.
SPINOZA (1632-1677) philosophe néerlandais : tous nos actes sont déterminés par une cause antérieure.
KANT : l’homme est pleinement responsable de ses actes et porteur de valeurs morales qu’aucune circonstance ne peut excuser. Il doit se conformer à son devoir. A partir du moment où j’ai agi conformément à la morale même si les conséquences de mon acte sont fâcheuses = je ne suis pas responsable du résultat car mon intention était bonne. Ex : Annonce d’1 diagnostic, je ne dois pas mentir à aucune condition, si je mens c’est que je juge autrui indigne de supporter la vérité.
La morale ne prête pas attention aux circonstances, alors que l’éthique les prend en compte.
WEBER (1864-1920) sociologue allemand : Des moyens douteux sur le plan moral peuvent être utilisés si le résultat est positif. Il distingue : l’éthique de conviction qui exige la pureté absolue des moyens et se préoccupe peu des conséquences de l’action l’éthique de responsabilité qui se soucie à la fois de l’efficacité des moyens et des conséquences de l’action sur autrui.
Ex : ne pas dire la vérité sur 1 diagnostic en pressentant que ça va lui faire du mal.
CONCEPTS EN ETHIQUE ET PHILOSOPHIE
Pourquoi parler d’éthique soignante ?
DEMARCHE RATIONNELLE : qui fait appel à la raison.
REIFIER : On objective la personne, on la considère comme une chose.
L’approche éthique consiste à prendre une distance par rapport à sa propre morale « apprise ». L’éthique intervient là où on a repéré au préalable les limites morales et déontologiques.
Conception hétéronome de l’homme : L’homme est déterminé par autre chose que lui-même.
SPA : Socrate Platon Aristote SOCRATE (né à Athènes 470-399 av JC)