Les alpes
Le plastique est partout : de la surface des océans au plus profond des canyons méditerraneens.
.. ces bouteilles auront probablement une durée de vie comparable à celle de la Terre !
De multiples observations l’on prouvé : aucune zone de l’océan n’échappe aujourd’hui au déferlement des déchets plastiques.
… l’océan reste le point le plus bas de la planète, celui où conduit la gravité, où aboutissent les rivières et les objets légers portés par le vent.
Aus Etats-Unis, une étude de 2004 précise que 50% du plastique produit est mis en décharge, 20% transformé en biens à longue durée de vie, et 5% est recyclé. Quid des 25% restants, soit 12,5 millions de tonnes ? Eh bien, ils échappent à la statistique, ce qui signifie qu’une bonne proportion doit terminer sa course dans l’océan.Encore ne s’agit-il que des statistiques d’un pays développé ! La situation est bien différente en Inde et en Chine, où les capacités de collecte de déchets sont tres faibles, mais où tournent 65000 usines fabriquant 50 millions de tonnes de plastiques.
Sauf que non toxique ne veut pas dire inoffensif. Beaucoup d’animaux meurent enchevêtrés dans le matériel de pêche, de navigation ou dans d’autres objets.
100000 mammifères marins meurent chaques années pour avoir croisé la route de plastiques.
La décompostion des cadavres d’albatros sur les îlots inhabités du Pacifique révèle ainsi des capsules de bouteilles, des briquets, des éclats de plastique, des billes de polystyrène
+ fragmentation donc moins visibles voirs plus du tout.
Des milliards de tonnes de deéchets .
Le problème, c’est que cette fragmentation ne constitue pas un changement de nature du plastique : il reste composé de polymères qu’aucun processus biologique n’est capable de détruire et aucun organisme capable d’assimiler.
Il y a donc, désormais, des morceaux de plastique en suspension dans toutes les eaux salées de la planète, quoiqu’en quantités variables.
A la décomposition des oiseaux marins