Les antiquités de rome
I.Un passé glorieux : il y a un poids du passé qui est très important.
• Une partie de ce poème renvoie à un temps révolu, elle est exprimée avec les temps du passé tel que le passé simple « dompta, mit » qui sont des actions de 1er plan ; Rome est alors personnifié. • C’est aussi le cas dans l’hyperbole l.6 qui montre sa grandeur, il y a une idée décrasement. • Nombreuses répétions de Rome, la ville est présente à tous les étages du poème, elle a laissé son empreinte dans l’histoire. • Cette puissance occupe surtout les 2 premières quatrains ; elle est célébrée avec un vocabulaire mélioratif « palais, arcs » la marque du pluriel renforcé l’idée de grandeur • « Pour montrer tout » : exprime le but ce qui montre que Rome a usé de stratège, tout est un adverbe qui exprime la totalité. Le verbe « se dompta » est employé avec un pronom réfléchit qui montre sa force.
II. Décadence présente : il y a une rupture entre le passé de Rome sous l’Antiquité et Rome au XVIe siècle
• l’emploi du présent de l’indicatif montre la rupture « n’aperçois » • Opposition entre les termes « rien » v.2 et « tout » v.7 qui montre que Rome n’est plus ce quil était • Présence du champ lexical de la décadence « rien, ruine, reste » • Les richesses sont dévalorisée avec l’adjectif « vieux » qui est répété 3 fois. On remarque un peu de mépris dans la répétition des pronoms « ces » et une certaine indignation lorsqu’il est écrit « c’est ce que Rome on nomme » • L’adverbe « seulement » et l’adjectif « seul » répèté 3x montre une grande restriction, Rome est réduit à l’état de monument. « Rome est le seul monument » Le verbe être est un verbe d’état qui s’oppose aux verbes d’action.
III. Le ressenti du poète : l’auteur semble s’adresser au lecteur, en tt cas au voyageur, il y a une marque de la 2ème personne.
• En écrivant ce poème, l’auteur s’inscrit dans une certaine pérennité. Il apostrophe le lecteur vers 1 « Nouveau venu