Les arrières goût
La vie serait merveilleuse si nous ne la voyons pas s’en aller aussi loin, aussi vite. Il est vrai qu’hier encore enfant, aujourd’hui jeune, vieillard fou-fou demain. Ainsi va la vie, elle est mystérieuse qu’a cause de cela nous nous agrippons à elle. Elle nous mène à sa guise, et nous entonne avec ses vissicitudes. Ceux-ci sans effort nous amènent à changer, les plus fort esprits deviendrons meilleures, les plus faibles mourront tout étant vivant. La vie serait plus qu’un mystère, c’est plus une sorte d’étape. En fait la vie serait plus qu’une étape, elle serait un parcours concurrentiel auquel le divin nous soumet à un tel parcours afin de décompter, de procéder par tri parmi ses créatures ceux qui possèdent une capacité de persévérance face aux problèmes de la vie.
Il distingue ceux qu’on nomme de manière courante ‘’lâche’’ ceux-ci sont que des faibles qui ont besoin de croire plus qu’il ne faut à la vie à leur personnalité. A un moment quelconque de notre vie nous sommes, nous devenons des ‘’lâches’’. Il y’a ceux qui se relèvent d’un côté et ceux qui ne se relèvent pas et ne se relèveront jamais.
Elle est assise comme d’habitude sur la véranda toute carrelée, dont le carrelage belge jadis est de couleur marron foncé. Ses yeux ridés autrefois ont séduit bon nombre d’hommes, dont mon père. Ceux-ci sont masqués à jamais d’une tristesse gigantesque. Aujourd’hui elle est assise à tricoter je ne sais quoi, elle toujours pensive et moi à la regarder. Ainsi l’amour d’une femme, l’amour maternel est fort au point où on le ressent même étant parti. Il y’a longtemps que je l’ai quitté, je pense à mon enveloppe charnelle, car mon esprit demeure à ses côtés. Son amour pour moi mon amour pour elle m’empêche de m’en aller de retrouver la paix. Je pense que jamais plus je n’ai ressenti la paix après mon départ on pense que lorsque nous ne sommes plus nous pouvons éviter, dévier voir esquisser nos douleurs passés, nos chagrins. Et on pense à