I- Les campagnes africaines et le monde A- Une production tournée vers les marchés extérieurs.

Les corps gras sont encore ajd parmi les pdts d’exportation de l’Af, à faible valeur ajoutée.
Textile = des hauts et des bas. A eu très longtemps mauvaise presse car imposé par les colons, puis progressivement les cultivateurs ont compris que zones propices à cultures de coton, ajd prospère.
Toutes ces cultures qui datent des périodes coloniales ont perduré malgré image négative entre le sud et le nord car : * Bénéfices pour les cultivateurs * Proximité Europe/Af * Facteur de rentrées de devises pour les Etats

2- deux types de structures qui coexistent

Exploitations familiales (café)
Grandes firmes agro-industrielles : canne à sucre, palmier à huile, bananes, ananas… du fait de la nécessité de les exporter rapidement.

Caisse des soutiens des prix en cote d’ivoire a sauté en 99
Avantages douaniers dont bénéficiaient les agriculteurs après accords de Lomé et cotonou ont volé en éclat.

Afrique perd parts de marchés sur tous les marchés de produits agricoles.
Il faut valoriser la prod, savoir faire nv pas faciles à acquérir.
Af ne pèse plus pratiquement que sur marché du cacao = 2/3 de la commercialisation du cacao.
( à ceci près que la diversification des gouts en am latine voit essor de son marché du cacao ).

Pb de la canne à sucre en Europe : continuer à la produire ou s’approvisionner uniquement ds le tiers monde ?

Baisse du tarif aérien du frêt = atout remarquable pour l’Af car peut vendre ses produits toute l’année.
Ex : marché Kenyan des roses = culture de la rose = 80 000 emplois directs au Kenya et près de 500 000 emplois indirects. Les salariés des gdes roseraies sont très mal payés et soumis aux insecticides = aberration sociale et environenmentale. Il y a besoin de diversifier,le prix cest des menaces.

B- Changements sociaux.

En positif, on peut dire que par l’apport d’argent, l’agriculture commerciale