Les femmes écrivains en Afrique, véritable talent ? En Afrique, être écrivaine, ce n’est pas un métier, c’est une vocation. Depuis le début des années 70, les femmes africaines se font une place dans la littérature. Leur nombre y est pourtant restreint car pour être femmes écrivains en Afrique, il faut une certaine dose de courage. On ne peut donc pas outrepasser leurs buts, leurs motivations présentes dans leurs écritures. Pourtant, ces femmes font preuves de grand talent et ne peuvent pas cacher leurs valeurs esthétiques dans leurs romans. Enfin, il est sure qu’elles ont bons nombres d’impact dans la société actuel. Mais tout cela est il suffisant pour ce faire une place dans la littérature française actuelle Pour commencer, il est tout à fait impossible de négliger les premiers buts de ces écrivaines. En effet, durant tant d’années, elles se sont battues pour la stabilité sociale et pour la paix des ménages. Leur engagement social n’est pas à mettre en doute. Il serait donc absurde de dire que ces femmes n’écrivent pas pour briser les silences. En effet, les femmes on longtemps été privées de parole par les hommes. Ceux-ci voyaient en elles une menace psychologique. En réalité, leur crainte de devoir se remettre en question était, pour eux, impensable. Ils ont alors crée cette censure qui empêchait les femmes de s’instruire et donc d’écrire. Mais heureusement, certaine d’entre elles ont réussi a ce faire une place comme Goretti Kyomuhendo qui avance sur son temps, ne s’intéresse pas à la critique mais a l’intelligence de ne pas tomber dans le fatalisme. En devenant coordinatrice de l’association FEMRITE, elle réunit les écrivaines ougandaises de la nouvelle génération. Ces femmes, en parlent de leur vie ont permis une meilleur préservation de la pensée humaine avec moins de déperdition de l’information. Comme cela, elles libèrent leur conscience et celle de leur congénère. Cependant, dire que ces femmes n’ont aucun talent et n’écrivent que