Les immigres en france
La France connaît un besoin croissant de main d’œuvre au 19e siècle et ce, pour plusieurs raisons : en effet, on constate un fort recul de la natalité qui débute au milieu des années 1870 et un taux de mortalité qui reste relativement élevé. De plus, le vieillissement de la population, cette dernière activement insuffisante et l’expansion de l’industrie, fait de la France le premier foyer d’immigration en Europe.
La France, en entrant dans l’ère industriel, voit ses besoins en main d’œuvre augmenter et se tourne vers l’extérieur. Entre 1851 et le début du 20e siècle, le pourcentage d’étrangers passe de 1% a 3% de la population, c'est-à-dire, de 400 000 a un peu moins d’1,2 millions d’étranger. Ces-derniers sont constitués en majeur partie de belges et d’italiens mais on peut aussi constater des allemands austro-hongrois, espagnols, suisses, britanniques et autre. Nous constatons également que cette main d’œuvre étrangère est, en particulier destiné a l’industrie qui en emploi la moitié en 1901. Derrière ce secteur d’activité, nous pouvons, de plus, citer le commerce(13,6%), l’agriculture et la pêche(13,2%) , mais aussi la domesticité, la manutention et transports, et enfin, les professions libérales et services publique.
A la fin du 19e siècle, les étrangers occupent une place de plus en plus importante en France mais cette présence provoque parfois un rejet xénophobe et certaines violences.
L’intégration étrangère se fait difficilement en raison de la xénophobie des français qui se fait ressentir au sein de la société. En effet les français supportent mal la concurrence des étrangers et se livrent a des affrontements xénophobes causant des blessés et parfois même des morts. On remarque également certains attachement que les étrangers ont a l’égard de leurs traditions nationales et qui peuvent parfois ralentir leur intégration au sein de la société française. A contrario, on constate aussi que