les institutions scolaires
Du Moyen âge où ils y avaient des « petites écoles », on y enseignait les prières mais également les rudiments de la lecture, de l’écriture et du calcul.
Au VIe siècle, l’étude des lettres a complètement disparu et la férocité des barbares fait rage au point qu’il n’y a plus personne pour décrire ou raconter le cours des évènements tragiques. La période carolingienne représente une certaine renaissance de l'éducation. CHARLEMAGNE, contribue à faire prendre conscience à l'Europe de l'importance de l'instruction scolaire
Avant la Révolution de 1789, l'enseignement élémentaire a longtemps relevé de l'initiative privée. Les familles les plus fortunées engageaient un précepteur,
En 1833, la loi proposée par Guizot est le premier pas important dans le développement de l'enseignement élémentaire. Elle oblige chaque commune de plus de 500 habitants à ouvrir une école publique de garçons mais n’appelle pas à l’obligation scolaire et renonce au principe de gratuité. En 1836, une nouvelle loi permet aux communes volontaires d'ouvrir une école publique de filles. Mais ce n'est qu'en 1850, que la loi Falloux oblige les communes de plus de 800 habitants à ouvrir une école publique de filles.
Mais le nombre d'enfants scolarisés reste faible et ne concerne pas encore toutes les classes sociales.
Nous allons donc nous intéresser à cette période et nous présenterons tout d'abord le thème général évoqué dans ces deux extraits de livres. Ce corpus, composé d'un extrait du livre d'Émile Guillemin « la vie d'un simple » et de celui de Pierre LOTI « le roman d'un enfant » aborde le même sujet, celui de l'instruction des enfants, nous sommes au XIX Siècle, et plus précisément dans les années 1853-1862.
Nous allons donc replacer dans une deuxième partie l'histoire de l'Éducation pendant le second Empire, en y dressant ces contours.