I)-Le processus de l’évolution de la pensée sociologique face au phénomène de l’échec scolaire :
Des les années soixante la questions des inégalité de réussite ou d’accès au différentes niveaux de l’enseignement et corréler exclusivement avec l’origine sociales, les différences sexuées étaient considéré comme une simple différence ,à partir des années quatre vingt les sociologue ont commençaient à porté intérêt au inégalité de sexé qui s’explique par le progrès scolaire féminins des année soixante dix ,leurs effectif bachelier dépasse celui des garçons ainsi les différences sexuées devenue à coté de l’origine sociale ,facteur explicatif du phénomène des inégalités dans le parcours scolaire.
Durant le début des années quatre vingt dix, l’inégalité dans le parcours scolaire est liée à l’origine où à la condition d’enfants d’immigrés ALAINI FRICKEY explique cette orientation des scientifiques vers d’autres variables explicative : « Le manque de donne s’expliquant également par une absence de légitimations de l’objet d’études par la communauté scientifique »
Au milieu de l’année quatre vingt dix d’autres variables explicatives ont vu le jour, les chercheurs ont construit la nationalité des élevé et leurs lieux de naissances, au carrefour des inégalités de parcours scolaire.
VALLET et CAILTE en 1990 ont réalisaient une étude comparative portée sur le parcours scolaire des élèves étrangers ou issus de l’immigration, comparé à celui des enfants d’origines française, les deux chercheurs ont prêt pour variable de mesure, le phénomène du redoublement au cours de la scolarité primaire, cette chercheurs à révélé l’écart important entre les deux populations d’études.
A partir des années deux milles cinq, les sociologues ont commençaient à se posé la question. le rôle que l’école joue dans la parcours scolaire, donnent elle les même chances de réussite aux élèves sans prendre en considération leurs différences socioculturelle et l’autre.
a)-L’inégalité selon l’origine et