Les misérables de victor hugo
I) La farce du maître et du valet ? L’échange entre Arlequin et Iphicrate donne dans un premier temps le sentiment que nous avons affaire à une sorte de farce entre le maître et le valet.
1) Des personnages bien typés. Dans la scène, et pour que puisse se mettre en place, effectivement, une sorte de « farce », il est en quelque sorte nécessaire que les personnages soient en quelque façon bien définis : d’un côté le « maître », de l’autre le valet. A partir de quoi le « jeu » va pouvoir se mettre en place.
Iphicrate est ainsi le « maître » de la situation, ou, du moins, il souhaite faire œuvre de « maître ». Et se comporter comme tel. On peut même dire qu’à l’appui de cette position de maître, le dialogue est soumis à une sorte de « gradation » : du « Je ne te comprends point, mon cher Arlequin », à « Misérable, tu ne mérites pas de vivre », il y a en effet une sorte de palier qu est ménagé par