Les médias au service de la transparence.
En 1986 (la première centrale nucléaire en France a été installée depuis une trentaine d'année), la centrale de Tchernobyl en URSS de l'époque (Ukraine) explose. Le nuage survole l'Europe impuissante face à ce chaos, et une URSS muette. Le gouvernement nie tout jusqu'à ce que la pression médiatique soit trop forte et qu'il ordonne donc de détruire des produits agricole, comme en Allemagne par exemple. Dans certains cas particulier, le médias sont le seul outil de pression du peuple pour demander une transparence.
Aujourd'hui des organisations ce sont créées et demande une totale transparence. En ce qui concerne Wikileaks par exemple, ils utilisent Internet pour pirater des documents confidentiels à la recherche d'informations non dévoilées.
Beaucoup de questions se posent sur l'objectivité des médias, notamment par rapport à leur financement, ou leur appartenance. Mais n'est-ce pas le but d'une démocratie que de valoriser la liberté d'expression ? Dans le cas de Radio France, qui appartient donc à l’État. En tant que démocratie, le gouvernement Français doit avoir le mérite de ne pas interférer la diffusion de l'information. Il faut savoir que certains médias, comme Le monde, essaye de financer le journal sans financement privé, mais avec la publicité par exemple.
Cependant, l'histoire nous a prouvé que la transparence n'était pas que positive. Prenons l'exemple de l'affaire Clinton et Monica Lewinski qui peut mettre en danger une vie personnelle.
Elle peut aussi fragiliser la sécurité nationale, comme avec le dévoilement des documents américains pendant la guerre en Irak.
Ou encore, peut remettre en